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 CATCH ME IF YOU CAN [JAYTIS]

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Otis Abberline
Otis Abberline
Admin □ Suddenly, staring at nothing, I see it. All is gradual.

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ARRIVE(E) LE : 05/09/2017
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MessageSujet: CATCH ME IF YOU CAN [JAYTIS]   CATCH ME IF YOU CAN [JAYTIS] Icon_minitimeLun 11 Sep - 15:57

CATCH ME IF YOU CAN
“ft le super flic Jayden
Encore une soirée à trainer dans les bars. Encore une soirée à boire du houblon liquide parce que ça descend tout seul dans le gosier et ça donne une haleine piquante. Encore une soirée à attendre que quelque chose se passe, qu’il y ait une animation quelconque. Encore une soirée à attendre que le temps passe jusqu’au lendemain où la journée sera pareille que la précédente et où, la soirée se clôturera par des litres de bières avalés qui gonfleront le ventre. Et puis bientôt, la fin sonnera parce que boire, ça creuse et ça fait tourner la tête. L’envie de gras se fera ressentir et ils iront tous au kebab du coin bras dessus dessous comme si ils étaient des vieux potes de toujours alors qu’ils viennent juste de se rencontrer. Ces soulards, Otis les observe accoudé au bar, le regard un peu perdu dans le vide. Il se fait chier le vieux. La routine commence à s’installer.  Alors il commande une autre bière à la serveuse qui le méprise du regard parce qu’elle sait qu’il va se passer quelque chose dans quelques instant. Il fait trop calme beaucoup trop calme alors qu’Otis est dans les parages. LA bière tendue et la monnaie en retour avec un petit pourboire et Otis sourit. Il a bien vu ce groupe de soulards, bière à la main qui mate avec indécence la biche du bar sans aucune classe. Il entend leurs rires gras à parler ouvertement de sa poitrine qu’ils rêvent de découvrir sous son t-shirt noir, ils ont faim et se comportent comme des abrutis. Une femme ça se respecte, tocards. Et puis, y’en a un qui se lève enfin la mine déconfite, les yeux qui partent en couille et la démarche branlante. Il arrive près du bar et Otis, il sent que le remue-ménage va arriver parce que l’autre il pue la gnaule et qu’il va dire une belle connerie.

- Hé ! Camille !

Des rires gras fusent de la table d’en face. Elle ne s’appelle même pas Camille, qu’ils sont cons. Otis, se délecte de sa bière en souriant. Il voit cette épée prête à trancher la gorge au-dessus de ce crétin qui tente désespérément d’attirer l’attention de la serveuse.

- T’as pas envie de tirer sur ma pompe pour une fois ?

Otis ne s’attendais pas à ce manque de respect. Cet être abject se retrouve rapidement couché sur le dos du bar, les mains d’Otis sur son torse. Otis jubile, Otis est content. Il va pouvoir donner une leçon à ce jeune trentenaire qui croit que tout lui est du. Les rires gras se cassent dans le silence soudain du bar. La serveuse est choquée, les autres clients semblent attendre la suite : ils désirent le procès de ce jeune gars qui mérite une correction. Les chaises raclent le sol. Il peut sentir leur présence qui s’avance, Il s’en fou, Otis. Il sait qu’il va leur mettre une raclée, comme d’habitude.

« Mon gars, dis pardon à la dame. »

- Vas te faire foutre.

Et ça commence. Une droite vient rompre la mâchoire de l’insolent. Une chaise vol au-dessus de la tête du gitan qui se retourne avec ce sourire arrogant sur le visage qui le rend affreusement sexy.

« Un problème messieurs ? »

Pas besoin de réponse, chacun à leur tour ils s’élancent contre ce pseudo héro des temps modernes qui se débat avec fougue. Il encaisse les coups et leur en rend le double. Les spectateurs s’écartent, d’autres fuient. Otis il règle ses comptes avec la vie sur ces brigands machistes. Et il aime ça, ça lui fait un bien fou au vieux.  Une droite sur la tempe  l’assomme un quart de seconde. IL se transforme en bête, déchire des t-shirt et défonce des mâchoires. Des dents se perdent mais on ne sait pas vraiment à qui elles appartiennent. Du sang vient colorer le sol en bois du bar qui se mélange à de la bière renversée. Otis est plein d’énergie et s’en donne à cœur joie jusqu’à ce qu’on vienne arrêter la fête. Les sirènes hurlent dans la nuit, les flics arrivent. Les gyrophares pénètrent dans le café et certains prennent peur. Fuyez bande de lâche. Otis termine son travail en continuant à s’en prendre au jeune et un autre, surement le propriétaire aux dents perdues puisqu’il a deux trous béants sur sa gencive supérieure. Il a l’air bien con comme ça. La porte s’ouvre à la volée et Otis lâche le col du jeune qui vient s’écrouler au sol à côté de l’homme sans dents. Otis lève les bras par habitude et se délecte du spectacle qu’il offre aux policiers. Otis, il restera toujours debout.
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Jayden Parker
Jayden Parker
membre □ Suddenly, staring at nothing, I see it. All is gradual.

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ARRIVE(E) LE : 29/08/2017
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MessageSujet: Re: CATCH ME IF YOU CAN [JAYTIS]   CATCH ME IF YOU CAN [JAYTIS] Icon_minitimeMer 13 Sep - 22:47

CATCH ME IF YOU CAN
“ft Otis l'emmerdeur relou
Des couples qui s’embrassent, des jeunes qui s’amusent, des vieux qui se promènent,… Cette soirée était calme. On pourrait presque croire que la ville était un havre de paix où entente et bonne humeur était toujours au rendez-vous. Sauf que cet idéal n’est qu’une douce Utopie. Un doux rêve qui ne tarde pas à s’envoler avec les premières sirènes de police qui raisonnent dans les ruelles. Ces flics ont de la chance, ils ont droit à un peu d’action !  Pas comme moi qui suis assis dans ma voiture à attendre que quelqu’un m’appelle pour une mission. Je détestais ces nuits de patrouilles ! C’était un aspect de mon travail que je n’appréciais guère ! Sauf quand il y a une bonne dose d’action …Dans ces moment-là je peux me sentir utile et qui plus est, l’adrénaline que l’on ressent dans ces instants de tension me fait prendre mon pied. Mais ce soir, le calme plat ! Je donnerai n’importe quoi pour qu’une bagarre dans un bar éclate. Même une toute petite ! Quelque chose qui puisse occuper le reste de mon service.
« Qu’est-ce qu’on se fait chier ce soir ! » Pour toute confirmation, je reçus le doux ronflement de mon collègue, endormi sur le siège passager. Il donnait vraiment une belle image à la police celui-là ! Il a de la chance que je ne le balance pas au chef qui se ferait une joie de lui remonter les bretelles. Non mais sérieux dormir en plein service ! D’un geste, je tournai le volume de la radio pour augmenter les décibels. La voix de Brian Johnson hurla dans l’habitacle, réveillant ainsi l’officier en sursaut. Un sourire satisfait s’afficha sur mon visage alors qu’il tentait de calmer son petit cœur qui devait battre à mille à l’heure après ça. « Putain mais t’es malade ?!! Tu veux me faire faire une crise cardiaque ?! Putain sérieux … J’sais pas comment ton coéquipier pouvait te supporter Parker ! Pas étonnant qu’il n’ait pas survécu avec toi » ton coéquipier … qu’il n’ait pas survécu avec toi … voilà bien les mots qu’il ne fallait pas prononcer. J’en avais surmonté des épreuves dans ma vie, mais la perte de mon frère d’arme était sans doute la chose la plus dure que j’aie eu à faire face. Surtout en sachant que c’est entièrement ma faute. Si j’avais su garder mon calme, les événements auraient sans doute prit une meilleur tournure. « Ho merde désolé Jay’, j’voulais pas dire ça … » Trop tard il l’avait dit ! En tout cas, à voir son regard, mon air avait l’air de l’effrayer. Mâchoire crispée, poings serré, je l’aurais bien frappé là maintenant tout de suite. Mais heureusement pour lui, un message nous signala une bagarre dans un bar à quelques pâtés de maison de notre emplacement. Mon souhait c’était finalement réalisé ! Sans un mot pour mon collègue, j’enclenchai les sirènes et démarra au quart de tour pour me rendre sur les lieux. D’autres voitures arrivaient en même temps et plusieurs hommes en uniformes en sortirent. Une fois dans l’établissement, certains hommes ivres et en mauvais état se faisaient déjà raccompagné par mes collègues. Bah putain, ils n’étaient vraiment pas beaux à voir. On pouvait carrément les suivre à la trace avec les gouttes de sang qu’ils laissent derrière eux.
« Ho attendez ! Celui-là il est pour moi ! » Je posais une main sur l’épaule d’un camarade pour qu’il s’écarte. Devant moi se trouvait maintenant le fauteur de trouble. Evidemment que c’était lui le responsable ! Qui d’autre cela aurait-il pu être ?! « Abberline ! Evidemment ! » Cet homme était bien connu de la police. Toujours à attirer les emmerdes celui-là. Un vrai emmerdeur ! Si ça n’en tenait qu’à moi, il serait en train de pourrir en cellule jusque perpète. Il ne méritait que ça cet abruti. Et je jure qu’un jour j’arriverai à lui faire prendre cher ! « T’as encore fait du beau travail ce soir ! Vraiment ! Tes talents m’impressionnent ! » fis-je sarcastiquement tout en attrapant les menottes accrochées à ma ceinture. « Tu connais la chanson pas vrai ?! Les mains dans le dos, t’as le droit de garder le silence blablabla ! Sérieusement, tu entends tellement souvent ça que tu pourrais réciter cette phrase sans problème. En plus de ça tu passes tellement de temps au commissariat que  je me demande pourquoi tu n’es pas encore flic ! » Je m’approche de lui et attrape un de ses bras dans le but de lui passer les bracelets.
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