► ton pseudo/prénom. comment tu t'appelles, jeune padawan ? Nini it's my surname ► pv, scénario, inventé ? Inventée. ► comment as-tu trouvé JoD ? Merci à Bazzart ► et t'en penses quoi ?Un petit bijou que j'ai hâte de découvrir. ► des trucs à ajouter/améliorer ?: Nope.

Que dire ?! Je m'appelle Annick, j'ai 32 ans et je suis une petite belge en bonne et due forme. Le reste à vous de le découvrir en me mpottant autant que vous le souhaitez.  

Point 1 «  Mon Enfance / Adolescence « : Née avec une cuillère en argent dans la bouche voilà ce que beaucoup de personne dirons de ma venue au monde. Mais seules les personnes n'étant pas arrivée dans ce monde avec de la richesse parlerons de la sorte. La plupart pense que l'argent fait tout mais il n'en est point. Un enfant n'a pas besoin d'une montagne de jouets en tout genre, non il veut simplement de l'amour. Ce «  détail «  je ne l'ai pas connu. Mon géniteur étant bien trop occupé à grossir  sa fortune.  Un père dirigeant d'une entreprise qui vaut des millions. Une mère jamais satisfaite qui passent ses journées dans des spa ou encore dans les bras de ses différents amants. Heureusement que mon frère était la. Mon sauveur, mon roi, mon héros ... Plus âgé de 3 ans, il a toujours été présent pour moi. Les années passent et rien ne change à part peut-être que je décide de profiter de cette fortune qui me sert à faire les boutiques et de temps à autres à faire des cadeaux à mes amies n'ayant pas cette chance. On dit souvent que les personnes riches ne côtoient que ceux de leur monde, cela est vrai, je ne vous dirais pas le contraire. Le peu d'amis que j'avais en dehors de ce cercle, je devais les voir en cachette mais cela ne me gênait pas. J'irais même jusqu'à dire que cela mettait un peu de piquant dans ma vie.

Point 2 «  Notre rencontre « : Vu que mon frère est destiné à reprendre le flambeau de l'entreprise familiale, je dois avouer avoir eu la chance de pouvoir choisir le métier qui me plaisait, enfin presque. Quand j'ai annoncé à mes parents que je souhaitais devenir institutrice primaire,ils n'ont pas eu l'air d'apprécier. Ce n'était pas d'assez haut rang à leur goût mais je n'en fais qu'à ma tête. Une fois mes études terminées, j'ai commencé à travailler dans une école publique, chose encore qui ne leur a pas plu. Et c'est la que je l'ai rencontré ... Ce policier venant expliquer aux enfants les dangers en tout genre. Il était si charismatique et simple à la fois que j'ai craqué. Je n'avais yeux que pour lui pendant tout le temps ou il parlait. Il a du le remarquer car à la fin de sa séance, il m'a proposé d'aller prendre un verre le soir-même. Malgré une légère hésitation j'ai accepté. Ce fût la plus belle soirée de ma vie. Plein d'autres sont arrivées et de fil en aiguille nous sommes devenus un couple. Je l'ai, après quelques mois présentés à ma famille à qui il n'a évidement pas plu, mais il plaisait à mon frère et c'était la le principal. Quelques mois plus tard, le mariage arriva. Même si j'avais souhaité quelque chose d'intime au départ, la ce sont mes parents qui ont insisté pour s'occuper de tout et j'ai eu droit à un mariage digne d'une princesse. Je ne vais pas dire que cela ne m'a pas plu mais la simplicité aurait tout autant fait mon bonheur.

Point 3 «  La rupture « : Il est tard et mon compagnon n'est toujours pas rentré. J'ai l'habitude qu'il ne soit pas présent à l'heure convenue mais cette fois-la, je ne le sentais pas. Je n'arrêtais pas de faire les cent pas dans notre salon. Le sachant sur une affaire très sérieuse concernant un gang, ma peur était encore plus présente que d'habitude. Voilà que l'on sonne à la porte, mon sang ne fait qu'un tour et je cours presque vers celle-ci en pensant qu'il a encore du oublier ses clefs. Quel ne fût pas mon désarroi quand je suis tombée nez-à-nez avec son supérieur. Il me regardais l'air mal et la je compris que quelque chose n'allait pas. Ce qui suivit confirma mes doutes. Je sentis mes jambes me lâcher, mes bras me tomber le long du corps, les larmes rouler sur mes joues telle une cascade ... Il était mort ... Son infiltration avait été découverte et ils l'avaient lâchement abattu tel un chien en proie à la rage. Mon monde venait de s'effondrer.

Point 4 «  Mon départ « : Après ce drame, je ne pouvais plus rester à New-York. Tout ces personnes, soit disant compatissantes, venant me souhaiter des sincères condoléances, me donnaient la nausée. Je devais m'échapper de la. Fuir le plus loin possible.
Pendant des jours, je me suis mise à chercher l'endroit idéal. Je voulais que cela soit retirer de tout, que personne ne me connaisse ou encore ne connaisse le nom Keegan. Je souhaitais un nouveau départ, une sorte de remise à niveau.
C'est comme cela que j'ai trouvé la petite ville d'Oro Valley. Elle avait tout ce que je cherchais, le calme, loin de tout, des personnes qui ne sauraient rien de la vie dans l'Upper East Side. L'endroit parfait pour tout recommencer et me faire oublier.
C'est donc en pleine nuit que j'ai décidé de quitter la maison ou je vivais avec mon époux, récemment décédé, ne laissant derrière mois qu'une lettre destiné à mon frère en espérant qu'il me pardonne un jour.

Point 5 «  Mon présent « : Six mois ont passé depuis mon arrivé à Oro Valley. J'ai su me trouver une charmante petite maison entourée d'un jardin et située non loin du Silver Lake. Une institutrice prenant sa retraite, j'ai eu la chance de pouvoir pourvoir à son poste. Me voilà maintenant occupée d'enseigner les premiers rudiments de la vie à des enfants de 6 ans ce qui me ravit réellement. Je ne peux pas dire que je suis heureuse, le poids du décès de mon compagnon étant encore sur mes épaules mais tout doucement je me reconstruis. Je ne suis pas déçue de mon choix. Oro Valley est vraiment l'endroit parfait pour moi, d'une simplicité et d'une beauté magique. Quand je ne suis pas au travail, je m'occupe de ma maison et du jardin ou encore je vais me balader  avec mon chien, Toby, que je viens d'adopter, un labrador d'une gentillesse inimaginable. Quelques petites choses manquent encore à mon bonheur mais je sais que je les retrouverais en temps voulu.


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